À l’extérieur de l’hôtel Pelirocco, au Regency Square, on refait le pavé. Brighton est une ville où il fait bon marcher. Dans les rues, hippies, hipsters, drag queens et musiciens côtoient banquiers et riches vacanciers.
Dans l'escalier mécanique du métro londonien, le bon touriste doit savoir se tasser à droite. Ici, les gens sont pressés, la vie coûte cher, le temps c'est d'l'argent pis y'a une étiquette à suivre.
Ils étaient là; imposants, dantesques et rouillés. Les Maunsell Sea Forts, debout depuis 72 ans au large de la côte de Whitstable, dans l’estuaire de la Tamise. Ces structures me subjuguaient. Non seulement pour leur architecture, mais pour leur histoire rocambolesque.
Les rues étaient pleines de monde. Environ 30 000. Ce soir à Belfast, c’était la Culture Night et 250 évènements parsemés à travers la ville courtisaient mon attention chancelante.
Devant moi, Princes Street s’étirait derrière le monument hommage au philosophe écossais Dugald Stewart, alors qu’à gauche, au sommet d’un distant rocher volcanique, se dressait le château d’Édimbourg.
C’était la semaine nationale du chocolat lorsque je suis arrivée à Liverpool et comme j’hésitais entre les tartes au chocolat et les « butty » (un sandwich à la saucisse sur du pain sourdough) pour le petit-déjeuner, j’ai fini par tout prendre.
C’est le genre d’endroit qui me donnait une folle envie de porter un veston carreauté et de retourner sur les bancs d’école. Oxford. Célèbre université britannique et une des meilleures et des plus vieilles du monde.
C’est ici que mon voyage se terminait. Après deux mois à sillonner le Royaume-Uni au gré de recommandations sur les réseaux sociaux, je venais conclure mon périple au sud de l’Angleterre, dans la pittoresque région de Cornouailles.
